Interview de Barbara Duarte chirurgienne brésilienne en stage au sein du groupe urologie – Oct 2023

Interview de Barbara Duarte chirurgienne brésilienne en stage au sein du groupe urologie – Oct 2023

Barbara Duarte, jeune chirurgienne brésilienne, a effectué un stage de quelques mois au sein du Groupe Urologie de Saint-Augustin à Bordeaux. Son enthousiasme et sa bonne humeur contribuent, si besoin est,  à humaniser la médecine. Elle a bien voulu répondre à quelques questions. 

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Barbara Duarte, je suis chirurgienne générale et urologue brésilienne, passionnée par le domaine professionnel que j’ai choisi. Je suis heureuse, agitée, bavarde, spontanée, bien disposée, dévouée, curieuse.

 

Pourquoi avoir choisi l’urologie comme spécialité ?

C’est une spécialité traditionnellement considérée comme masculine, chirurgie clinique, extrêmement résolutoire où les caractéristiques féminines peuvent apporter différents aspects à la patiente.

Il y a des domaines en urologie qui sont négligés par les collègues et j’ai l’intention de protéger et d’accueillir les patients qui souffrent de maladies iatrogènes.

 

Vous avez quitté le Brésil pour passer un peu de temps à Bordeaux avec les chirurgiens de la Clinique Saint-Augustin : quel était le but et pourquoi Saint-Augustin ?

Mon but était d’apprendre des chirurgiens urologues les plus renommés sur l’approche robotique des maladies urologiques. J’ai appris qu’en plus d’être d’excellents chirurgiens, ce sont des gens admirables et inspirants.

 

Que retiendrez-vous de ce que vous avez appris à Saint-Augustin ?

Je garderai certainement le sentiment d’être au sein de cette équipe pour toujours, avec beaucoup de nostalgie et de gratitude. Surtout, j’ai appris qu’il est agréable d’allier compétence et bonne humeur.

Le Dr Barbara Duarte avec le Dr Thierry Piechaud du Groupe Urologique Saint-Augustin lors d’un congrès à Barcelone en mai 2023 – Source Instagram Barbara Duarte

Diriez-vous que les femmes ont une approche différente en urologie ?

Certainement! Les hommes et les femmes sont différents et comprendre ces différences permet d’offrir une approche différente au patient. Souvent, grâce à l’instinct maternel biologique, il est possible d’offrir un accueil plus aimant et compréhensif.

 

Des conseils pour celles et ceux, qui, comme vous, aimeraient améliorer leurs connaissances ?

Acceptez tous les défis, même apprenez comment vous ne voulez pas être. Faites-vous des amis en cours de route, créez les meilleurs souvenirs de votre vie.

 

Last but not Least : avez-vous testé des vins de Bordeaux ? (la réponse était facultative)

J’ai certainement acquis un palais exigeant !

 


Barbara est désormais pour quelques mois à Cambridge après Bordeaux. Nous lui souhaitons une très belle carrière ! 

 Fiche LinkedIn

Le savoir-faire du Groupe Urologique Saint Augustin en Inde – Sept 2023

Le savoir-faire du Groupe Urologique Saint Augustin en Inde – Sept 2023

Le Dr Jean-Luc Hoepffner (à droite)

Le Docteur Jean-Luc Hoepffner (Gusa – Clinique Saint-Augustin de Bordeaux) a participé les 23 et 24 Septembre 2023  au 5eme Robotic Urology Forum Conference & Masterclass in Uro-Oncology* de New Delhi au cours duquel sont présentées en « Live » des ateliers comprenant des opérations de chirurgie mini-invasive.

Des conférences didactiques et des débats sur diverses chirurgies robotiques notamment  le cancer de la prostate, de la vessie et du rein, ainsi que des chirurgies reconstructives complexes se sont déroulées présentées par un large panel d’experts.

De nombreux urologues éminents, oncologues médicaux et des radiothérapeutes ont participé à cette conférence. Plus de 600 délégués se sont ainsi réunis pour discuter les avancées récentes en uro-oncologie.

Le Dr Hoepffner a présenté la dernière approche sur la RARP (prostatectomie radicale assistée par robot) ) et les conditions de la prise en charge optimale du cancer de la prostate oligométastatique (Advances in Urological Malignancies).

Il est également intervenu sur les complications / scénarios difficiles en chirurgie

 robotique et été membre du panel sur l’atelier Complications / scénarios difficiles en chirurgie robotique.

La présence récurrente du docteur Hoepffner à New Delhi participe à la fois d’une très bonne circulation de l’information scientifique entre les chirurgiens urologues et d’une reconnaissance de l’expertise des membres du groupe urologique Saint-Augustin à l’international

Tweet (sur X) de Ram Nath Kovind le 23 sept. 2023

Le forum a été ouvert par l’ancien président de l’Inde (1997-2022), l’honorable Ram Nath Kovind

 

*Sous l’égide de Société d’urologie de Delhi (DUS) en collaboration avec SRS USA, GUCSI


 

Pour en savoir plus :

Le groupe urologique Saint-Augustin (GUSA) partenaire de l’étude VIOLETTE portant sur une nouvelle technique d’ablation du cancer de la prostate

Le groupe urologique Saint-Augustin (GUSA) partenaire de l’étude VIOLETTE portant sur une nouvelle technique d’ablation du cancer de la prostate

Fort de leur expérience dans la chirurgie mini-invasive, depuis juillet 2023 les docteurs ROCHE et HOEPFFNER du groupe urologique de la Clinique Saint Augustin  peuvent initier l’inclusion des patients dans l’étude VIOLETTE, la clinique étant devenue centre partenaire.

L’étude VIOLETTE (N° ID RCB : 2019-A00803-54), dont le titre complet est « Prospective multicenter trial assessing the efficacy of a novel 3D cartography-based targeted focal microwave therapy in men with localized intermediate-risk prostate cancer » est une étude interventionnelle, prospective, multicentrique, européenne, ouverte et non comparative menée par la société Koelis (Grenoble) qui se présente comme le leader mondial en technologie de fusion d’images, avec un focus sur les interventions de la prostate.

L’objectif principal de cette étude est d’évaluer l’efficacité d’un traitement focal (focal : Qui concerne le foyer principal d’une lésion ou d’un trouble) et ciblé du cancer localisé de la prostate à risque intermédiaire de progression, par ablation thermique via l’utilisation des microondes pour des patients spécifiquement sélectionnés.

L’innovation tient en la sélection précise des patients à l’aide d’outils d’imageries multimodales et de cartographie 3D de l’organe. La localisation et la quantification de la « lésion index » en 3D permettent ainsi de planifier, guider et suivre l’application localisée d’une énergie ablative.

Cette opération permet donc « d’exécuter précisément l’ablation focale de la zone cancéreuse », tout en préservant les tissus tout au autour de cette zone. C’est une innovation importante dont l’étude doit apporter la preuve de l’efficacité.

Cette étude se déroule, dans le respect du protocole approuvé par le Comité de Protection des Personnes Sud-Est IV, des bonnes pratiques cliniques et des procédures exposées lors de la visite de mise en place.

En pratique, c’est le médecin investigateur qui décide si une personne est éligible et, après entretien avec la personne et évaluation des critères de sélection, lui propose de participer à l’essai clinique.


La réalisation d’essais cliniques participe à l’avancée de la recherche en permettant par exemple de mieux comprendre le mécanisme d’action d’un médicament, de mettre au point de nouveaux dispositifs médicaux ou de comprendre le mécanisme et l’évolution de certaines pathologies.

Après sa participation à un essai clinique, le patient est assuré de retrouver une qualité de soin et de suivi au moins égale à celle qu’il avait avant sa participation.

 

Pour en savoir plus :

Le Dr Richard Gaston reçoit la médaille Wickham 2022 au congrès ERUS de Barcelone

Le Dr Richard Gaston reçoit la médaille Wickham 2022 au congrès ERUS de Barcelone

Le docteur Richard Gaston a reçu la prestigieuse médaille Wickham lors de l’édition 2022 du congrès international ERUS qui s’est tenu cette année à Barcelone.

La reconnaissance par ses pairs d’un précurseur dans la chirurgie mini-invasive

 

Le docteur Gaston, chirurgien urologue exerçant au sein du Groupe Urologique Saint-Augustin à la clinique éponyme Elsan à Bordeaux, est un précurseur de la chirurgie mini-invasive depuis les années 1990. Il a notamment réalisé la première prostatectomie radicale en France en 1997. Cette première prostatectomie radicale pour traitement de cancer prostatique localisé ouvrait la voie à une nouvelle technique opératoire permettant de s’appliquer à un grand nombre de cancers de l’appareil urinaire.

En 2005,  le docteur Richard Gaston se spécialise dans la chirurgie robotisée avec le développement de la technique liée. Il en fait un domaine d’excellence qui vaut aujourd’hui aux chirurgiens associés au sein du Groupe Urologique Saint-Augustin d’intervenir régulèrement en France comme à l’international.

C’est ainsi qu’en 2005, le Groupe Urologique Saint Augustin est le premier à développer, en hospitalisation privée, la chirurgie sous assistance robotique (robot Da Vinci, société intuitive) et à communiquer les bénéfices post-opératoires de cette nouvelle technologie. et à être le premier à présenter une analyse scientifique afin d’améliorer la précision des chirurgies et la prise en charge du patient.

Récipiendaire heureux, le Dr Richard Gaston a tenu à exprimer sa gratitude aux organisateurs et membres du comité pour cette récompense mais également à remercier vivement son équipe de Bordeaux et a invité ceux et celles qui l’avaient accompagné à Barcelone à monter sur scène avec lui.

Le parterre a été impressionné par cette cohésion d’équipe !

Le cycle annuel de conférence ERUS

 

Les conférences ERUS sont réputées pour l’attention particulière portée aux besoins des jeunes urologues avec un programme spécial Junior ERUS-YAU .

ERUS met l’accent sur la chirurgie en direct. Il est destiné à présenter à la fois la chirurgie urologique oncologique comme non-oncologique, cette dernière ayant pris une place importante dans le domaine de l’urologie robotique. Les présentations allient des cas concrets simples et complexes.

 

Le prix ​​John Wickham

 

Le prix est décerné sur une base annuelle, honorant les chirurgiens qui ont apporté une contribution significative à la chirurgie robotique. Le prix consiste en une médaille représentant une gravure à l’effigie de John Wickham. Le prix inaugural de l’an dernier a été décerné au professeur Claude Abbou pour son travail de pionnier dans le domaine de la prostatectomie assistée par robot et des transplantations rénales. 

Le prix porte le nom de John Wickham (1927-2017), un véritable pionnier de la chirurgie robotique. En collaboration avec le professeur Brian Davies de l’Imperial College, Wickham a développé et conçu le premier dispositif robotique en chirurgie urologique nommé PROBOT. Wickham a utilisé le PROBOT pour effectuer la toute première procédure robotique sur la prostate à Londres en avril 1991. Il a inventé l’expression «chirurgie mini-invasive» pour décrire l’avenir du domaine. M. Wickham est décédé fin 2017 , à l’âge de 89 ans. 

 

ERUS 2024 …à Bordeaux

 

Enfin une joie en dévoilant une autre :  la conférence ERUS 2024 se tiendra à Bordeaux et le groupe urologique Saint-Agustin est très heureux de l’organiser.

Nous aurons l’occasion de communiquer sur cet évènement phare.

 

Le groupe urologie hisse la clinique Saint-Augustin au 45ème rang mondial du Classement 2023 de Newsweek

Le groupe urologie hisse la clinique Saint-Augustin au 45ème rang mondial du Classement 2023 de Newsweek

Le groupe Urologie Saint-Augustin hisse la clinique Saint-Augustin de Bordeaux au 45ème rang mondial du Classement 2023 de Newsweek.

Dans son classement annuel de la célèbre revue Newsweek « World’s Best Specialized Hospitals 2023 » qui intègre cette année  la spécialité Urology, le Groupe Urologie de la clinique Elsan Saint-Augustin arrive à la 45ème place mondiale.

Le groupe Urologique Saint-Augustin se voit être le premier service urologique privé français, et le 3ème français derrière les services de l’AP-HP de la Pitié-Salpétrière et de Tenon selon le classement publié la semaine dernière.

Méthodologie

 

Newsweek a procédé à son classement en analysant 300 établissements dans 28 pays

Les listes sont basées sur une enquête mondiale, à laquelle plus de 40 000 professionnels de la santé (médecins, professionnels de la santé et directeurs d’hôpitaux) ont été invités à participer. Le classement comprend les 300 meilleurs hôpitaux pour la cardiologie et l’oncologie, les 200 premiers pour la pédiatrie, les 150 premiers pour la chirurgie cardiaque et l’endocrinologie et le top 125 pour la neurologie, la neurochirurgie, l’orthopédie, la gastroentérologie, la pneumologie et l’urologie.

La reconnaissance d’une expertise majeure

 

Les chirurgiens du groupe urologique Saint Augustin ont ainsi été reconnus par leurs pairs et cela donne du sens aux interventions qu’ils réalisent également régulièrement en France et à l’étranger pour des interventions complexes.

 

A noter que la clinique Augustin par ailleurs voit également ses services Cardiologie et chirurgie cardiaque reconnus dans le classement (respectivement 126eme et 147eme)

 

 

La récupération améliorée après chirurgie (RAAC)

La récupération améliorée après chirurgie (RAAC)

Qu’est-ce que la récupération améliorée après chirurgie (RAAC)?

La récupération améliorée après chirurgie (RAAC) vise l’autonomisation précoce du patient la plus proche possible dans le temps du geste chirurgical avec un objectif de « chirurgie sans risque et sans douleur »

Il s’agit d’améliorer considérablement la convalescence avec une meilleure qualité des suites opératoires qui a pour conséquence de baisser la morbidité.

Si la RAAC, est applicable potentiellement à tous, le rôle du patient est indispensable

Parfois nommée RAC pour Réhabilitation Accélérée après Chirurgie et même RRAC pour Réhabilitation Rapide après chirurgie, l’acronyme RAAC, Réhabilitation Améliorée après chirurgie, a été attribué par la société savante (société regroupant des experts exerçant et publiant des travaux de recherche) GRACE , Groupe de Réhabilitation Améliorée après Chirurgie.

Les avantages de la RAAC

La mise en œuvre de techniques de réhabilitation améliorée comporte de multiples avantages et permettent de bénéficier d’une hospitalisation plus confortable, plus courte, tout en réduisant les complications post-opératoires. Si l’ambulatoire est aussi parfois préconisé pour des questions de coût pour le système de santé, ici c’est l’intérêt du patient qui prévaut à cette démarche.

  • D’abord par une plus grande efficacité des soins grâce à la mise en commun de l’expertise des soignants médecins et des soignants non-médecins formés à cette prise en charge multimodale
  • Ensuite par une plus grande cohérence des soins grâce au développement de l’esprit d’équipe parmi les soignants
  • Enfin des protocoles de soins fondés sur les meilleures données de la science, validés par de nombreuses études scientifiques de haut niveau.

la RAAC, en France, fait l’objet de recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) datant de 2016 et les Agences Régionales de Santé sont attentives à leur déploiement.

Le principe de la RAAC

Les procédures de réhabilitation améliorée après chirurgie constituent un ensemble de mesures visant à réduire le stress (ou agression) chirurgical afin de rendre les suites opératoires moins compliquées.

La durée de l’hospitalisation varie théoriquement de quelques jours à plus de deux semaines (en fonction du déroulement des évènements). Au-delà de la surveillance médicale nécessaire et habituelle, le confort de tout opéré pendant cette période est une priorité absolue.

Il a été démontré qu’une modification partielle de la prise en charge (avant pendant et après l’intervention chirurgicale) pourrait non seulement raccourcir la durée du séjour après chirurgie, mais aussi réduire le risque de complications générales.

Ainsi comme le précise la Haute Autorité de Santé

La récupération améliorée est l’objet de recherches et de publications de plus en plus nombreuses ces dernières années avec une élévation progressive du niveau de preuve des études. De manière globale, il est rapporté que la RAAC est une prise en charge sûre : Selon les études les taux de complications et/ou de réadmissions hospitalières ne sont pas significativement différents voire sont inférieurs à ceux obtenus lors d’une prise en charge conventionnelle.

Le rôle actif du patient

Le rôle du patient dans cette prise en charge est primordial.sa participation commence dès les premières consultations médicales (préhabilitaion) avant l’opération pour se poursuivre après, et même au-delà du séjour à l’hôpital. Le patient devient un acteur de ses soins tout au long de cette période. Cette  implication directement dans la procédure de récupération précoce se fait de de la manière suivante :

Avant l’intervention notamment,
  • En participant, si l’état de santé le permet , à cette phase de préparation à la chirurgie appelée préhabilitation
  • En ayant lu et compris le principe de ces procédures
  • En intégrant le fait que ces procédures ne sont pas faites pour «chasser le patient » de l’établissement mais plutôt pour éviter un séjour inutilement prolongé (on sait le risque d’infections nosocomiales).
  • En s’engageant à participer activement aux procédures
  • En prenant, en accord avec l’équipe médicale, toutes les mesures pour une sortie de l’hôpital dès que les conditions sont réunies
Après l’opération et pendant le séjour à la clinique
  • En s’efforçant à se lever du lit dès l’après-midi du jour de l’opération lorsque c’est possible
  • En suivant, autant que possible, les prescriptions de ré-alimentation rapide
  • En quittant la chambre pour marcher dans le couloir du service dès que possible
  • En appuyant, le cas échéant, sur le bouton de l’appareil anti-douleur chaque fois que nécessaire
  • En signalant tout évènement anormal
Après la sortie de la clinique
  • En s’efforçant de retrouver aussi rapidement que possible les activités habituelles
  • En contactant le médecin traitant ou le chirurgien référent chaque fois que nécessaire (les coordonnées sont bien évidemment communiquées !)

Si les conditions personnelles ne permettent pas une sortie rapide de l’hôpital toutes les mesures nécessaires doivent être prises bien avant la programmation de l’intervention pour trouver une solution adéquate.

La RAAC à la Clinique Saint-Augustin

Initialement développée en Scandinavie en chirurgie colorectale, la RAAC a vocation à s’étendre à toutes les spécialités et tous les patients.

Ainsi a-t’elle été appliquée à l’urologie (cystectomie, néphrectomie, prostatectomie)

Autour des chirurgiens urologues de la clinique Saint-Augustin des équipes pluridisciplinaires : équipes médicales (médecins anesthésistes, rééducateurs, infirmiers, kinésithérapeutes, aides-soignants, etc.) et un environnement administratif et organisationnel favorables travaillent à améliorer cette récupération accélérée qui a démontré un bénéfice réel pour les patients.

Si 42 % de l’activité Urologique au sein du Groupe Urologique Saint-Augustin se fait en ambulatoire, la récupération accélérée après chirurgie implique  l’intervention de différentes spécialités qui vont de la kinésithérapie à l’assistante sociale toutes présentes au sein de la clinique.

C’est un élément important au service des patients qui permet également avec ce suivi particulier de développer une relation de confiance entre le patient et les équipes soignantes.